Lors de mon stage de marketing à Bali dans le centre de plongée Nico Dives Cool, j’ai profité de l’occasion pour passer le premier niveau de plongée. L’entreprise m’a offert la possibilité de faire un la formation Open Water qui se termine par une certification SSI, reconnue dans le monde entier. Bali est mondialement connue pour ses paysages, sa nature, sa biodiversité et sa richesse sous-marine. Une grande partie de la vie marine vit dans ses eaux chaudes et transparentes, pleines de coraux de toutes les formes et de toutes les couleurs. Bali est entourée d’un récif corallien, l’île est située dans le Triangle de Corail, regroupant les plus beaux et les plus importants récifs de cette région située entre deux océans (Indien et Pacifique) et deux continents (Asiatique et Océanique). Quelques notions théoriques … J’ai donc commencé par lire un programme théorique très complet expliquant tout ce que je devais savoir sur la plongée, y compris l’équipement, la préparation, la communication sous-marine, la sensibilisation à l’environnement, les précautions à prendre, toutes les informations utiles sur le monde aquatique et la plongée. Un questionnaire de huit questions était à remplir à la fin de chacun des six chapitres, avec au moins sept réponses correctes pour passer au chapitre suivant. … beaucoup de pratique … Ensuite, mon cours s’est déroulé sur deux jours. J’ai commencé le premier jour par pratiquer, pendant près d’une heure, tous les exercices indispensables à la plongée, dans une piscine, afin de me familiariser avec les gestes et les réflexes à adopter en mer. Ensuite, je me suis rendu à Padang Bai, un endroit réputé pour ses coraux et sa vie sous-marine, pour mes deux premières plongées dans l’océan. J’ai répété tous les gestes appris en piscine lors de la première plongée, comme préparer mon matériel, le vérifier, mettre mon équipement de plongée à l’eau, replonger du bateau, remorquer mon binôme fatigué d’un point A à un point B en surface, gérer ma descente et ma remontée mais aussi enlever mon masque sous l’eau et le remettre en place. J’ai appris à retirer mon tuyau d’alimentation en air (appelé détendeur) puis à le remettre en place, à le donner à mon binôme (lors d’une simulation de panne d’air) et à prendre mon alimentation de secours (appelée Octopus) pour réagir correctement en situation réelle. Tous ces exercices sont importants et nécessaires pour valider le cours, de plus ils permettent de s’habituer à ces situations inconfortables et de mettre en confiance le plongeur pour sa future vie de plongeur. Je suis resté concentré et mon instructeur a été très patient, il a réexpliqué les exercices quand c’était nécessaire. Lors de la deuxième plongée, j’ai pris plus de temps pour apprécier l’environnement marin et travailler ma flottabilité, très importante en plongée et difficile à maîtriser. La flottabilité est régulée d’une part grâce à la respiration, mais surtout grâce à l’air accumulé dans le dispositif de contrôle de la flottabilité (BCD), plus je le gonfle (en ajoutant de l’air à l’intérieur de mon BCD), plus je flotte et donc plus je m’approche de la surface. A l’inverse, plus je dégonfle le BCD, plus je coule. … et beaucoup de plaisir ! La deuxième journée de plongée s’est déroulée à Tulamben, où se trouve le magnifique Coral Garden. Lors de la première plongée, j’ai répété certains exercices vus précédemment et j’ai acquis les connaissances nécessaires pour utiliser le compas et l’ordinateur de plongée sous l’eau. Lorsque j’ai nagé dans ce jardin de corail, j’ai pu apprécier de nombreuses espèces marines et des champs d’anémones avec de nombreux poissons clowns. J’ai ensuite eu la chance de voir trois magnifiques requins de récif à pointes noires, mesurant entre 1,60 m et 1,80 m, à seulement dix mètres de moi. Aussi impressionnants soient-ils, ils sont inoffensifs et restent à une distance confortable. Une poussée d’adrénaline m’a envahi mais j’ai su rester lucide et contrôler mes émotions. Pour ma dernière plongée, j’ai pu découvrir la célèbre épave de l’USAT Liberty (alias l’épave du Bali), c’est un navire de guerre américain mesurant 120 mètres de long et situé entre neuf et trente-cinq mètres de profondeur. Nous sommes descendus à une profondeur de 18 mètres, ce qui est la limite maximale autorisée pour les plongeurs Open Water. Au retour, j’ai passé mon examen final Open Water avec 100% ; les 50 questions de l’examen théorique résumant toutes les connaissances nécessaires pour obtenir la certification Open Water Diver. Ce fut une expérience mémorable, mon instructeur était excellent, très professionnel et m’a donné confiance dès le début pour appliquer les exercices avec sérénité et profiter au maximum des plongées ! Mélanger les exercices avec un environnement marin diversifié et riche rend le cours encore plus excitant. Maintenant que je suis certifié, j’ai hâte de plonger autour du monde et d’explorer davantage la diversité marine. Écrit par Bastien, stagiaire au Dive Shop en 2018
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